Aujourd’hui sur le pod, je jase avec mes potes Luc Tremblay, CEO, et Jacob Gagnon, directeur ventes & partenariats chez C-Cube, un SaaS de gestion pour entrepreneurs en construction.
On touche sur :
Les gars ont de la grosse expérience startup derrière la cravate, et ont eu l’amabilité de partager bons et moins bons coups. C’est super apprécié, en même temps vu qu’on est chums dans la vraie vie, ils n’avaient pas vraiment le choix de venir sur le pod!
Ah et fun fact, les gars ont eu l’amabilité d’enregistrer ça avec moi DEUX FOIS, parce qu’on s’est planté sur le premier enregistrement comme des n00bs l’été passé.
All right, on passe au show, let’s go!
—
Cool SaaS peeps mentionnés :
—
Crédits musique
—
Si vous faites partie d’un SaaS québécois, allez sur saaspasse.com, cliquez sur le bouton “Ajoutez votre SaaS” pour être indexé dans notre répertoire.
Suivez-nous sur LinkedIn et Instagram pour des updates sur le projet + les nouveaux épisodes du podcast & événements
Luc Tremblay: Quand on fait des focus groupes, des petits comités aviseurs avec nos entrepreneurs, on se rend compte de la complexité de la chose. D'arriver et d'avoir vraiment un impact sur leur business, qu'ils sont capables de dire Écoute, moi le dimanche, je travaillais, maintenant je peux juste passer du temps avec ma femme, mes enfants. C'est comme parce que j'ai ce logiciel-là qui a tout centralisé l'information, qui automatise un paquet de tâches. Call in, c'est bon. C'est équible,
François lanthier Nadeau: What's up folks, c'est François Lanthier Nadeau bienvenue sur SaaSpasse où on jase de croître un SaaS ou une carrière en SaaS au Québec Abonnez-vous et laissez-nous un review sur Spotify, Apple Podcasts ou votre plateforme préférée, ça nous motive big time On drop un épisode semaine minimum juste des discussions sans filtre avec founders ou employés clés en SaaS. Assurez-vous aussi que votre SaaS est licité sur SaaSpasse.com. Bouton mauve, ajoutez votre SaaS. Il y a déjà au-dessus de 260 compagnies. Si vous cherchez un emploi ou un employé en SaaS au Québec, allez sur SaaSpasse.com slash emploi avec un S. C'est notre job board. Le prochain event de SaaSpasse sera annoncé bientôt, sûrement fin mars ou début avril à Montréal. Au moment où ce pod sort, c'est probablement déjà annoncé sur Evenbright ou la bannière de notre site. La première retraite privée pour fondateur SaaSpasse s'en vient tranquillement en avril. On est presque complet, mais vous pouvez quand même soumettre votre candidature pour celle-ci ou la prochaine. Allez sur SaaSpasse.com slash retraite avec un S ou écrivez-nous sur LinkedIn ou à bonjourhighatSaaSpass.com. On vous enverra le form et les détails. Aujourd'hui sur le pod, je jase avec mes potes Luc Tremblay, CEO, et Jacob Gagnon, directeur vente et partenariat, chez C-Cube, un SaaS de gestion pour entrepreneurs en construction. On touche sur les origines entrepreneuriales et amicales de Luc et Jacob, le développement d'une première plateforme web comme CoFounders qui était non technique, la fusion entre Gosummission qui était leur première startup et Cube les spécificités de l'industrie de la construction, l'acquisition, le pricing, la vente directe, les webinaires avec la face à Jacob. Les gars ont de la grosse expérience startup derrière la cravate et ont eu de l'amabilité de partager bon et moins bon coup. C'est super apprécié. En même temps, vu qu'on est chums dans la vraie vie, y'avait pas vraiment le choix de venir sur le pod. Ah pis fun fact, les gars ont eu l'amabilité d'enregistrer ça avec moi deux fois parce qu'on s'est plantés sur le premier enregistrement comme des noobs l'été passé. Les noobs, c'était nous, pas eux. Alright, on passe au show, let's go !
François lanthier Nadeau: On a eu un problème technique de notre faute la première fois. Après ça, un problème pathologique. Les trois ont été malades comme des chiens. Puis là, la troisième fois, hopefully, il n'y aura pas d'astéroïdes. C'est en bois, celle-là ? C'est pur bois. Du bois d'arbre. Du meridier. Je commence tout le temps le pod en demandant si vous vous rappelez comment on s'est connus. Luc, tu t'en rappelles-tu ? On vient de l'écho-système. Dans le fond,
Luc Tremblay: on s'est connus chez...
François lanthier Nadeau: Ça devait être chez...
Luc Tremblay: Non, à vrai dire, on est chez Spectrum. Puis, c'était l'ancien bureau dans Limoilou. Et puis, oui, exact. Toi, tu étais stagiaire pour Spectrum. Nous autres, on partait GoSummission. Ça faisait peut-être, je pense, un an. Puis, on était dans le sous-sol. Dans le petit garage. Dans les bureaux de Spectrum. Puis, je me souviens, on était allés launcher quand même tôt.
Jacob Gagnon: À ta place préférée, tu t'en souviens ?
Luc Tremblay: Bureau de bord. Au bureau de poste, etc.
Jacob Gagnon: C'est pas ma place préférée.
Luc Tremblay: Je me souviens, on était sortis, Jacob et moi, on était comme... C'est la première fois qu'on rencontrait quelqu'un qui était aussi... Tu nous avais déballé. Tu avais tellement été transparent. Tu t'avais déballé comme ta vie. Puis tout de suite, on avait connecté avec toi. Bref.
Jacob Gagnon: Dès le début, ça a été fluide. Tu t'es ouvert rapidement. Puis après ça, ça a fait en sorte qu'on s'est ouvert aussi rapidement. Puis on est devenus quand même chums assez rapidement. Je t'entends ? Ça n'a pas été long.
François lanthier Nadeau: 100 je suis d'ailleurs le parrain de tes enfants. Exact. On s'en reparle après le pot. Vous aviez de quoi de vraiment cool pour mesurer vos objectifs de vente à l'époque ? Je ne sais pas si vous l'avez encore. Vous aviez des tubes ? On a encore les tubes, mais ils ne sont plus utilisés. Manqué de sable.
Jacob Gagnon: Mais non, c'est ça. C'était des tubes qu'on remplissait avec des petites pelletées de sable. Ce n'est plus à jour. On l'a utilisé peut-être les deux, trois premières années. Mais écoute, on les a encore. Il faudrait peut-être justement les remettre. Parce que c'était comme dans la montre matérielle.
François lanthier Nadeau: C'était au lieu d'un dashboard.
Jacob Gagnon: On avait fait ça.
Luc Tremblay: Surtout dans le logiciel, tout le monde a son dashboard, les métriques. Quand on s'entend, tu peux en avoir 150 métriques, mais réellement, les métriques que tu veux mesurer, c'est ceux-là que tu vas agir dessus. Tu ne peux pas en avoir, surtout quand tu pars, tu en as peut-être 3, 4, 5. De faire un objet avec ça, tu n'as pas le choix de te dire c'est quoi les 3 métriques qui sont les plus importantes. C'est un événement.
François lanthier Nadeau: tout le monde par mois rap c'est le nombre de demandes de soumission le nombre d'entrepreneurs était sa plateforme pour faire ça pour ça 100% mais le de gos soumission à ces cubes vous avez plus gros objectifs ça va prendre des siloines de ciment ça va être ça va être des silos mon goût de peur et je vais être fait qu'on va expliquer exactement c'est quoi gos soumission psy cube mais vite j'aimerais ça que vous fassiez un highlight de votre parcours fait Qu'est-ce qui t'a amené professionnellement où tu es aujourd'hui ? Puis ensuite, Jacob.
Luc Tremblay: Le Tremblay Forêt, j'ai tout le temps... Je pense que déjà, comme bien des entrepreneurs, je tondais la pelouse dans tout mon quartier. Je viens du monde du ski alpin, donc je fartais les skis de toute l'équipe de compétition. J'avais tout le temps mon petit sideline. J'avais parti d'un camp de ski aussi dans la région. J'avais tout le temps des petits projets entrepreneurial. Fait que quand... Tu sais ça, je viens d'une famille d'entrepreneurs aussi. Fait que tu sais, c'était comme... Même si, tu sais, moi, j'ai fait le parcours admin. Puis quand je suis sorti, plus finance. Puis clairement que j'étais avec une gang, tu sais, qui sont allés travailler dans les banques, tout ça. Mais clairement, dès que je suis rentré là-dedans, j'étais comme No way que je vais travailler. Ben, à tout respect pour ceux-là qui travaillent pour les banques.
François lanthier Nadeau: Il y en a pas beaucoup dans l'audioconférence.
Luc Tremblay: Non, exact. Mais... À la sortie de mon bac en admin, j'étais comme, OK, quel projet qu'on part. Jacob, on se connaît de Matane, on les deux vient de la Gaspésie. Même jeune, à chaque fois qu'on jasait, on jasait de projets. Exact.
Jacob Gagnon: On connectait vraiment beaucoup là-dessus.
Luc Tremblay: Oui. Puis c'est ça. Jacob, on s'est jasé. Il est venu me voir. sur mon balcon.
Jacob Gagnon: On va l'expliquer un petit peu plus tard, je pense, avec Gauss-Soumission, comment ça a parti, tout ça. Oui,
Luc Tremblay: exact. C'est comme ça que ça m'a amené éventuellement à partir Gauss-Soumission avec Jacob, on va en reparler. Puis moi, je suis un gros sportif. De partir en affaires, c'est comme une petite compétition. Un long marathon. Un long marathon où tu as tout le temps un petit peu d'adrénaline puis tu as envie de performer. Ça venait me rejoindre mon côté sportif.
Jacob Gagnon: Nice. Luc, by the way, c'est le CEO de C-Cube Gosumption. Moi, c'est Jacob Gagnon. Je suis le directeur des ventes et partenariats pour C-Cube Gosumption. Je viens de Matane aussi. Grand sportif. Moi, je pense que c'est ce qui me définit le plus. Je suis un maniaque juste de tous les sports. Pas possible. J'aime ça pratiquer. J'aime ça regarder aussi. Puis étant jeune aussi, j'ai toujours voulu triper. J'ai toujours triper sur l'entrepreneuriat. Quand j'étais plus jeune, peut-être à 6-7 ans, j'avais dit à ma mère, écoute, moi, je vais faire des Nintendo en bois, puis je vais les vendre après. J'avais tout le temps des petits projets comme ça que je trippais, je pense. Je t'en ai jamais parlé, mais c'est là que ça sort, les Nintendo en bois. C'était ma première business que je voulais partir. Puis après ça, je suis venu au cégep à Québec, puis j'ai parti Gosummission qu'on va parler peut-être un petit peu plus tard. Tu veux-tu qu'on embarque tout de suite ?
François lanthier Nadeau: Oui, on va faire un mini-recap de Gosummission c'est quoi ? Puis ensuite, C-Cube, c'est quoi ?
Jacob Gagnon: Good. Écoute, t'es toujours super bon pour l'expliquer. Gosummission c'est Cube. Je te laisse le faire, puis je vais parler après ça de l'histoire de Gosummission si tu veux.
Luc Tremblay: Ça marche. Ben, GoSummission, initialement, c'est l'idée à Jacob, qui a vu, tu sais, GoSummission, en fond, c'est une plateforme qui aide à comparer des entrepreneurs pour tout projet de rénovation. Donc, tu vas, tu cliques projet de toiture, puis nous, on va te connecter avec, en moyenne, trois entrepreneurs qui font, hé, moi, je suis intéressé à me déplacer chez toi, puis à soumissionner sur ton projet. Puis là, tu vois le profil en ligne des entrepreneurs, la vérification légale. les commentaires de clients qui ont passé sur la plateforme. Fait que, je pense que tu avais vu ClickAssure, puis toi, tu avais une compagnie de...
Jacob Gagnon: Ouais, comment que ça s'est passé, ça s'est déroulé. Moi, j'avais une compagnie de tontes de gazon avec mon ami Kevin Henley dans le temps. Donc, salut Kevin. On avait parti ça pendant que j'étais au cégep, et puis on avait fait une super belle année, mais on s'est rendu compte que après la première année, on ne pense pas qu'on va faire ça le restant de nos jours. Puis à chaque fois que je faisais, mettons, du gazon, il y avait des clients qui me disaient, écoute, tu peux-tu faire de la peinture, tu peux-tu faire des petits jobs de réno, des choses comme ça. Moi, je suis la personne la moins manuelle sur la terre, mais on prenait quand même le contrat. On se disait, écoute, oui, il n'y a pas de problème. Fait qu'on engageait nos amis à quelques dollars de l'heure. Le monde nous payait quand même un certain montant. Puis on était comme, tu sais, ça n'a pas de bon sens. Le monde, tu sais, ce n'est pas vers qui se tourner pour faire certains travaux. Fait qu'on se disait, écoute, avec les casseurs, justement, comme tu disais, dans le temps, que eux, c'était justement trois submissions. pour tes assurances automobiles, maisons, tout ça. On s'est dit, on va faire le même concept, mais pour la rénovation puis l'entretien. Puis c'est parti de là. On a eu cette idée-là. On était à l'évaluer. On faisait du porte-à-porte. Puis Kevin et moi, on se ressemblait beaucoup. On se disait, écoute, ça nous prendrait un gars comme Luc Tremblay. Nous autres, on avait toujours eu Luc Tremblay en tête. On s'est dit, c'est un gars-là. On connecte avec. C'est un gars de ma table. On le sait qu'il est sharp. Il faut aller le voir. Il faut lui parler de notre projet. Puis écoute, on est allé voir Luc.
Luc Tremblay: C'est bien le temps.
Jacob Gagnon: Mais on a toujours eu ton nom en tête. Toujours. Puis c'est vrai que depuis, depuis tant de temps.
Luc Tremblay: C'est dans le marché. Pour ceux qui le connaissent, c'est un méchant bon jack, mais très convaincant aussi. Mais comme in a good way, tu te convainc de faire les affaires, puis après ça, tu es vraiment content, tu es convaincu de le faire. Ça n'a pas été long. Tu me convaincus. J'étais là, je me disais, j'ai envie de me partir en affaires. On s'entend, tu pars en business, avec qui tu le fais, c'est super important. Qu'est-ce que tu fais au day-to-day ? C'est quoi ton rôle dans la business ? C'est super important. Moi, j'avais le rôle comme finance, marketing, puis diriger. Je trouvais ça super intéressant. J'avais le côté finance, mais plus créatif, marketing aussi, ça m'intéressait. Puis après ça, le fait que ça soit en technologie, on s'entend… Je veux dire, on est dans l'ère où c'est probablement dans les opportunités les plus importantes, c'est en technologie. Ça fait que c'était comme un no-brainer de s'enligner vers là. Ça fait que c'est vraiment le fun.
Jacob Gagnon: Tu étais quelqu'un de quand même extrêmement impliqué aussi à l'école. Tu avais plein d'offres, de plein de places. Ça fait que tu sais, nous… Oui. On était comme, on espère, tabarad, qu'ils vont embarquer dans le projet. Puis ça n'avait pas été long, justement, que tu avais fait comme, let's go. Ah,
Luc Tremblay: let's go.
Jacob Gagnon: C'est notre gars.
Luc Tremblay: Fait que, ouais, c'est ça. Fait que Go Submission, après ça, bien là, on était zéro, tu veux dire, on n'avait pas de compétences de code ou quoi que ce soit. Puis là, c'est là qu'on s'était associé avec Spectrum dans le temps, qui, eux autres, avaient investi dans les startups à l'interne. C'est une firme de, je pense que la plupart du monde dans l'audience connaît Spectrum. Firmes de services qui investissaient dans des startups, mais à ce moment-là, c'était pas tant connu. Le volet startup, c'était un nouvel onglet qu'ils avaient mis sur leur site web. Ça retombe à ça. Puis on savait même pas. On était juste allés les voir pour qu'ils fassent leur site web. Ils ont fait comme, on peut faire un partenariat. Eux, ils sont encore partenaires avec nous. Ils sont devenus leur partenaire technologique. Ça a fait un bon bout de chemin. Go Submission, on a roulé ça pendant 7 ans.
Jacob Gagnon: sept ans. Oui, à peu près. On va fêter nos dix ans au mois de février.
Luc Tremblay: Ça a géré peut-être 3000 projets de rénovation par année qui rentraient sur la plateforme qu'on référait. Même déjà dès le début, quand même que ça l'a vraiment poigné. Puis c'est ça. On serait rendu peut-être à C-Cube.
François lanthier Nadeau: Oui, vous avez fait une fusion avec C-Cube qui s'est concrétisée. en 2023, Susan Mabers ? Oui, 2022. Ça s'est concrétisé en 2022. Exact,
Jacob Gagnon: mais ça s'est parlé pendant un bon petit bout de temps. Ça reste qu'avec GoSumption, nous, on dépendait énormément quand même justement du marché. Pendant la pandémie, nous, c'est des abonnements avec GoSumption. Les entrepreneurs nous payent pour être sur la plateforme. Au final, on est un lead generator pour eux. On se rendait compte que les entrepreneurs, pendant la pandémie, hum... Il y avait de la job à ne plus finir. On s'entend, tout le monde faisait des rénovations, tout le budget voyage, etc. Les taux étaient extrêmement bas, ça allait super bien pour eux. Les entrepreneurs n'avaient pas nécessairement besoin de nous. On s'est dit, écoute, il faut se diversifier, il faut trouver des façons. Quand tu travailles fort, ça va super bien pendant 7 ans et que là, ça commence juste, tu stagnes. Quand tu es entrepreneur, stagner, c'est la pire chose. Un peu après ça, justement, tu avais parlé avec Younes. Je te laisse poursuivre un petit peu.
François lanthier Nadeau: Mettons une mini-pine là-dedans. parce que sur CQB, on va l'expliquer mais j'aimerais creuser un tout petit peu plus sur le premier parcours GoSummission. J'ai une couple de questions. La première qui me vient en tête, c'est vous êtes des entrepreneurs, vous avez des skillsets relativement complémentaires. Tu parlais finance, marketing, tu parlais vente, relationnel, tout ça. Mais là, vous n'avez pas le skillset de développer des plateformes web, par exemple. Vous n'êtes pas des programmeurs ou des web designers. Fait que comment tu... Parce que là, tu as un spectrum sincère comme organiquement dans l'histoire, mais comment tu, un, décides qui c'est qui va développer ton code, puis pourquoi, puis comment éventuellement tu... Est-ce que tu reprends le contrôle ? Est-ce que ça reste tout le temps une personne externe ou une organisation externe qui s'occupe de cette partie-là ? J'ai le goût qu'on creuse là-dessus.
Luc Tremblay: Oui, mais tu sais, le choix du partenaire technologique, on s'attend que... Grosso modo, tu as peut-être quatre choix. Soit tu vas avec une firme comme on a fait, soit tu prends un freelancer qui lui est comme un dev, soit... t'embauches quelqu'un, c'est un gros risque pour démarrer. Ou soit tu prends un associé qui est un dev, que tu donnes des shares, mais qui est un individu. Pour nous autres, GoSummission, c'est pas un genre, on monte pas un ERP, on monte pas une grosse plateforme technologique. Consciemment ou inconsciemment, à ce moment-là, c'était comme, on avait évalué d'embaucher un freelancer, puis la firme, le freelancer au début... Finalement, il est juste disparu de la carte le jour au lendemain.
Jacob Gagnon: On pensait qu'il partait avec notre idée. À ce moment-là, on l'appelait, on disait qu'est-ce qui se passe, il ne répond plus à nos appels, on va appeler la police C'était vraiment tout.
Luc Tremblay: C'est un genre de classique.
Jacob Gagnon: Il ne partait pas pour le jeu de ne pas faire notre projet, mais à ce moment-là, on ne le savait pas.
Luc Tremblay: C'est le genre classique de, je pense, une nouvelle entrepreneur qui est comme, ton idée, c'est golden. Tu ne sais pas que 99 de ta réussite, c'est l'exécution et non ton idée. Je voudrais partager là le plus de pot.
François lanthier Nadeau: Sauf que là, mettons, tu vas au Mexique, tu vois une affiche pour Vamos Subiciones, tu es là, tabarnak. Le fait au Mexique. Vamos Subiciones. Fait que là,
Luc Tremblay: lui, il a prouvé peut-être le con. Lui, il se pousse. Fait que là, c'est peut-être, c'est justement ça le risque de travailler un full-end. Ça, c'est le risque qui est plus grand.
François lanthier Nadeau: Moins d'engagement, moins de risque, moins d'engagement réputationnel pour cette personne-là. Oui, exact.
Luc Tremblay: Puis je veux dire, il peut tomber malade, il peut y arriver n'importe quoi, tu sais, ou ça ne le tente plus ou bien il se fait embaucher par une autre compagnie. Puis je veux dire, ton projet, c'est plus prioritaire. Fait que par chance, ce risque-là, il est arrivé. dès le début, c'est juste pointé. On n'était pas deux ans dans le code et il avait développé de quoi avec la technique. Finalement, c'est pour ça qu'on s'est tourné vers une firme, le designer qu'on avait embauché pour faire notre logo.
Jacob Gagnon: On a toujours en plus notre logo, je trouve, qui vieillit bien. Salut à Andrew Moro. Andrew.
Luc Tremblay: Andrew nous a dit que Trump, son co-op, tout ça. C'est comme une référence à ce niveau-là. Puis de s'associer, je pense qu'on n'avait pas le réseau ou la connexion pour, disons, trouver un associé qui était dev. Je ne connaissais absolument personne à ce moment-là,
François lanthier Nadeau: dans ce milieu-là. Mais même quand tu as le réseau, c'est un christi de gros commitment. Soit je quitte ma job temps plein, ou j'ai fini l'autre entreprise d'avant que je voulais, pour avoir à peu près zéro salaire pendant un bout, pour développer comme un fou quelque chose qui ne va peut-être pas marcher. Ça ne se trouve pas facilement. Non, non,
Luc Tremblay: non, exact. Il y a peut-être un bassin genre... de gens qui ont des idées qui veulent des devs. Il y a une couple de devs qui sont là et qui se font peut-être pitcher des affaires.
François lanthier Nadeau: Qui ont le profil entrepreneurial, prise de risque.
Luc Tremblay: Oui, exact. Il y en a très peu. C'est bien correct. Les devs qui nous écoutent, c'est comme double check. Assurez-vous que l'entrepreneur soit pas juste en démarrage, qu'il y ait une réputation dans le domaine. qui est, tu sais, parce que...
François lanthier Nadeau: On en entend. Oui, exact. Des premières de programmeurs qui se font vendre des rêves puis un moment donné, au début de l'aventure, quand ça marche...
Luc Tremblay: Exact. Pas mal plus des devs que l'inverse. Oui.
François lanthier Nadeau: Mais là, une firme comme Spectrum, c'est pas... Ils sont bien smart, mais c'est pas du pro bono. C'est pas de la charité. Non. Vous, au départ, vous êtes positionné comme cet agrégateur-là de besoins en construction et en rénovation puis d'offres, finalement, right ? C'est comme entre les deux, puis vous augmentez la vélocité à laquelle le monde peut avoir des deals quand tu es entrepreneur, mais régler tes problèmes ou faire tes projets quand tu es citoyen consommateur. Mais là, je guess qu'avant de vous rendre à générer cette valeur-là, il faut construire la plateforme. Aviez-vous déjà généré du revenu d'une autre manière ? Ma question, c'est comment vous l'avez financé finalement ?
Jacob Gagnon: un peu de love money, puis sinon on est allé quand même chercher énormément de financement aussi, pour énormément de financement. Genre de la dette, mettons ? Oh oui, carrément, c'est ça. Fait que, un classique. La dette, vraiment beaucoup de dette.
Luc Tremblay: Classique, mais c'est plus, pas en tout, tu sais, le financement de start-up, il a vraiment changé, comme une couple d'années après que, tu sais, ça fait 10 ans. Quand même. Ouais, exact. Maintenant, c'est plus, tu sais, genre, subvention. ou bien ils donnent 50 de ce que tu mets, toi, dans ton projet. Mais à ce moment-là, c'était vraiment comme, il fallait que tu donnes 10 et le reste, ils le mettaient en prêt. Fait que tu sais, c'est ça. C'était un gros prêt qu'on a pris. Puis au final, ça a fait en sorte qu'on a moins été MVP. On n'avait pas eu ce prêt-là. Puis c'est ça qu'ils ont appris, je pense, ceux qui financent les startups. C'est comme si tu donnes un prêt, ça incite moins à comme... trouver des manières créatives de tester ton produit. Ça reste...
François lanthier Nadeau: On est fiers de ton capital.
Luc Tremblay: Oui, exact. Ça reste... Un point. Oui, c'est ça. Tu brûles vite.
Jacob Gagnon: Tu le brûles très, très vite. Oui. Tu entends, là, on l'a brûlé quand on a passé la tête.
François lanthier Nadeau: Surtout en frêle, en horreur. Mais vous, vous avez eu un... Spectrum est devenu, comme vous dites, partenaire dans la compagnie. Pas juste un fournisseur qui bille à plein prix et qui dit, il faut que mes heures soient finies, ciao, bye.
Jacob Gagnon: Une chance qu'on ait eu Spectrum, honnêtement. On ne serait pas ici aujourd'hui si ça n'avait pas été Spectrum. Ça a été les meilleurs partenaires. Pas possible. On a fait un bon deal avec eux, même que le deal qu'on a fait à la base avec eux n'était pas assez avantageux pour eux. Puis on est même revenu, on dit les gars, on veut que vous soyez impliqués avec nous autres, on veut que vous travaillez dans le même sens que nous Donc, on est prêt à justement reparler de ce deal-là. Ça fait aucun sens parce que le deal, c'était Vince qui négociait le deal à ce moment-là et non Georges. Georges était en vacances. C'est le deal que Vince avait négocié.
Participant 5: Je t'entends, Vince.
Jacob Gagnon: C'est ça. Mais non, d'accord, Vince, on l'aime d'amour. C'est encore notre associé. Puis on... Tu sais, c'est ça.
François lanthier Nadeau: Quand j'étais employé, une année, j'ai fait ma négociation de salaire pendant que Georges était en vacances aussi.
Participant 5: Puis ça a été bénéfique pour moi. Bon, on y va. À tous les employés du monde ici. Spottez votre boss qui a l'air le plus négociable et attendez que l'autre soit à vacances.
François lanthier Nadeau: Mais là, vous êtes dans une industrie, avec GoSumption et Secube, on arrive à Secube. Vous êtes dans une industrie qui est assez particulière, qui est l'industrie de la construction. Ce n'est pas nécessairement une industrie qui est reconnue pour être méga, méga, méga high-tech au front de l'innovation et tout ça. J'ai comme une question par rapport à ça. Est-ce que de vendre un service... passe par la technologie, de vendre une plateforme web, que ce soit avec CQB ou avec Ghost Mission, est-ce que ça amène des défis ? Est-ce que c'est... Parle-moi des caractéristiques de cette industrie-là un peu.
Luc Tremblay: Moi, je pense que... Clairement que c'est pas à la job des entrepreneurs en construction de devenir plus technologique. Eux, c'est vraiment à la job, à la plateforme, puis aux services qu'on rend, de devenir... facilement utilisables. Clairement, il y a ce volet-là. Pour GoSummission, les ladies rentrent par courriel. On s'est ajusté à leur réalité au lieu qu'à avoir une app.
François lanthier Nadeau: Un profil.
Luc Tremblay: Je te dirais que c'est CQM qu'on n'a pas... Veux-tu que j'aille vers CQM ? Expliquons ce qu'est CQM.
François lanthier Nadeau: Tu as raison, ça fait trois fois qu'on le mentionne. Explique-moi ce qu'est CQM.
Luc Tremblay: Juste pour... Juste une mini-histoire juste avant. GoSummission, il y a un ennemi qui... on a fait une fusion avec C-Cube. On a fusionné nos forces. C-Cube, c'est un logiciel tout en un pour les entrepreneurs spécialisés de la construction. Tu penserais à un couvreur, un plombier, maçon, tout entrepreneur qui est spécialisé dans une niche. Puis, nous, ce qu'on offre, c'est vraiment, il fait tout sur cette plateforme-là. C'est justement, c'est pas des entrepreneurs qui sont... qui sont forts en technologie. Ce n'est pas comme nous autres qui gèrent des SaaS qu'on a comme 50 tours à utiliser et qu'on est à l'aise avec ces sign-ups-là. Il y a vraiment un gros bénéfice pour cette verticale-là de la construction à avoir un bon logiciel dans toutes les sphères, mais un logiciel. Ça fait de l'estimation jusqu'à la facturation. Ils font leurs estimations, ils envoient le contrat en ligne là-dessus, ça commande les matériaux. Ça assigne des sous-traitants. Il y a un horaire de production où ils assignent leurs employés dans un horaire. Puis après ça, ils facturent le tout.
François lanthier Nadeau: C'est un cas de 80 des tâches que je dois faire pour gérer mes projets et ma business comme entrepreneur spécialisé en construction.
Luc Tremblay: Exactement.
François lanthier Nadeau: Je peux le faire dans C-Cube. 100
Luc Tremblay: C'est un logiciel qui a été conçu par des super bons devs. allié avec une grosse compagnie de construction qui s'appelle Toiture Toiture. Ça a été fait par l'industrie, par des devs qui savaient comment faire. Ça fait que c'est sur plus de 10 ans que la plateforme est développée. Pour nous autres, Gosummission c'était comme un diamond in the rough. C'est comme des gens de l'industrie, des bons développeurs, puis il manquait le volet, mais il l'utilisait par 100. Il y a 100 entrepreneurs à ce moment-là qui l'utilisent. Fait que c'était un no-brainer de s'associer avec eux autres parce qu'on venait la portion manquante de la patente où il manquait le côté commercialisation, vente, mais aussi produit exact que j'ai développé plus au fil des dernières années aussi. Fait que c'est ça, c'est Secube.
François lanthier Nadeau: On en est un peu à expliquer. Vous voyez cette opportunité-là. On connaît cette industrie-là. On est probablement capables, d'un point de vue d'acquisition puis même de gestion du produit, d'amener ça plus haut. Mais vous avez Gosummission qui roule, qui a pris quand même un hit, je pense, avec la COVID. Comment est-ce que le dialogue commence avec cette équipe-là, ces gens-là, genre, on allie-tu un peu nos forces ? C'est grâce à Younes, qui est un bon ami à Luc, qui a étudié au cégep. avec Charles-Auguste et Younes. On l'aime tellement,
Jacob Gagnon: Younes. Puis c'est à partir de là que Luc et Younes, il y avait des discussions par rapport à ça. Par rapport à C-Cube, Younes en parlait beaucoup parce que C-Cube avait été acquis par Mission BSP que Younes est actionnaire. Plusieurs personnes s'occupaient de C-Cube, mais tout le monde un peu à temps partiel. Il n'y avait personne vraiment qui était là et qui s'occupait de C-Cube full-time. Ça faisait en sorte que... C'est sûr que les ventes n'explosaient pas à ce moment-là, puis que les features sortaient pas comme c'était supposé de sortir. Puis nous autres, on arrivait justement, on était sur un plateau un petit peu avec GoSumption, le timing était juste excellent. Ça reste que la connexion humaine aussi avec Younes, on le savait qu'il y avait un match potentiel, on avait 100 confiance en lui. Je pense que tu peux en parler un petit peu, comment ça s'est passé peut-être les premières rencontres avec Younes, puis toi, tu es venu m'en parler par la suite. J'étais plus ou moins convaincu jusqu'à temps que je me rende compte du potentiel que ça pouvait avoir. Puis là, j'ai fait comme, OK, on est ailleurs.
Luc Tremblay: Je pense qu'une fois que tu vois le logiciel et l'effet que tu as là sur les entrepreneurs, tu catches. Ça faisait, même avant ça, CQB, on avait fait un petit événement avec eux autres. C'était comme des petits partenaires de loin. On l'avait démontré à nos entrepreneurs. Il y avait même des entrepreneurs qui avaient déjà switché, des entrepreneurs de GoSummission qui avaient déjà switché à CQB. C'est ça. Je pense que c'était vraiment un no-brainer. Puis à ce moment-là, que je n'ai pas dit dans le CV, je suis dirigé à Apple 13 à ce moment-là, incubateur pour Startups SaaS, qui est partenaire avec vous autres maintenant.
François lanthier Nadeau: Avant que ça pivote au studio. Oui,
Luc Tremblay: exact. Puis là, on venait de sortir le Startups Studio aussi avec le no-code juste avant de quitter. Fait que là, je m'intéressais depuis deux ans plus au SaaS, puis je trouvais que c'était vraiment malade. Puis j'avais... j'avais vraiment envie de jumper dans mon projet. Quand tu es entrepreneur et que tu fais plus de l'accompagnement, la patte me shakait souvent. C'est donc bien hot ce que vous faites. J'avais toute envie de jumper dans les trucs. Ça, c'était comme mon opportunité de revenir avec Jacob aussi. Moi,
Jacob Gagnon: j'avais hâte. Ça reste que j'ai cofondé Ghost Mission avec Luc. J'avais juste hâte. Mais ça faisait qu'avec Ghost Mission, avec... à quel point on se taignait, on ne pouvait pas nécessairement se permettre d'avoir le salaire à Luc sur le payroll. Ça faisait en sorte que c'était moi qui s'en occupais. Luc, il restait là, mais il me semble qu'il me manque mon partner un petit peu. Je savais qu'avec ce projet-là aussi, on allait recommencer à travailler ensemble, justement, full-time.
Luc Tremblay: C'est des défis. Au soumission, la plateforme a été faite, il y a des petites modifs, mais c'est une marketplace. c'est moins complexe. Tandis que l'industrie de la construction, un SaaS pour l'industrie de la construction, c'est malade l'impact qu'on... Justement, tu le dis, ils ne sont pas tant technologiques, mais le gain qu'ils peuvent avoir... Le gain à avoir d'utiliser la technologie, c'est probablement le plus grand gain qu'il y a sur le marché. Parce qu'eux sont moins organisés. Je veux dire, pour n'importe qui qui a fait un projet de Renault dans leur maison, ils peuvent comprendre un peu comment c'est complexe juste... gérer le projet de Renault lui-même, les changements qui arrivent. Il y a beaucoup d'étapes. Honnêtement,
Jacob Gagnon: depuis que c'est ça qu'on a, j'ai tellement d'admiration pour les entrepreneurs. Il y a quelque chose. Quand on fait des focus group, des petits comités aviseurs avec nos entrepreneurs, on se rend compte de la complexité de la chose. D'arriver et d'avoir vraiment un impact sur leur business, qu'ils sont capables de dire Écoute, moi le dimanche, je travaillais maintenant, je peux juste passer du temps avec ma femme, mes enfants. parce que j'ai ce logiciel-là qui a tout centralisé l'information, qui automatise un paquet de tâches. Mais Joliane c'est...
François lanthier Nadeau: Si c'est qui va sauver mon couple, ça pourrait être un bon... Un mot du passe-le-gain,
Jacob Gagnon: ça serait... Ouais, c'est bon. Mais blague à part,
François lanthier Nadeau: je trouve aussi que les... Parce que j'ai un bon ami qui est entrepreneur général. Puis je trouve que les entrepreneurs en construction, qu'ils soient général ou spécialisés, ils nagent à contre-courant dans la perception publique. C'est-à-dire que souvent, il y a des préjugés. Regarde, ces préjugés-là, sont-ils valides ou pas, ce n'est pas à moi de dire, mais tu sais, les gens ont eu des mauvaises expériences avec des travaux mal faits ou trop chers, des passements des coûts, du temps, peu importe. Puis là, c'est tout le temps les histoires les plus négatives qui circulent, que ce soit dans une petite communauté ou dans les médias. Fait que tu arrives comme avec... souvent les clients qui ont des appréhensions qui sont pas nécessairement en mode confiance. Fait que moi, écoute, si... Je le vois du côté du client, je l'ai déjà été, je le vois du côté aussi de mon ami qui est entrepreneur, pis c'est comme, c'est quand même tough, ça. Fait que si votre tool peut aider à justement mieux gérer tout ce qui est délai, tout ce qui est budget, la client, tout ça, fuck yeah, on a tous besoin de construction. Pas une industrie qui s'en va nulle part. Non,
Jacob Gagnon: c'est ça. Elle est là pour rester, cette industrie-là. Elle va toujours rester.
François lanthier Nadeau: Mais je suis curieux d'un point de vue plus personnel, parce que... Jack t'as comme dit, tu sais je m'ennuyais un petit peu de mon partner dans la transmission puis là vous avez fait le merge avec s'équipe puis vous êtes all in les deux ensemble mais votre relation d'amitié elle a évolué comment au travers ces dix années-là, ça a-tu été tough de rester pot, de rester chum en tout cas pour moi vraiment pas,
Jacob Gagnon: tu diras ta version après si tu veux mais pas de mon côté, j'ai tellement trouvé que tu sais on a eu des challenges quand même puis Je ne veux pas aussi le fait que Luc n'était plus full-time à un certain moment donné. On a quand même dû avoir certaines discussions, pas nécessairement toujours plaisantes, mais juste de faire comme, écoute, on ne peut juste pas se le permettre. Mais notre relation a toujours super bien été. On a toujours resté proches. On a toujours fait des activités ensemble quand même. On ne s'est jamais pogné, je pense, en disant. On n'a jamais pogné, mais on a des bons tempéraments. Comment tu fais pour jamais te pogner en disant ?
Luc Tremblay: Mais tu veux dire, je pense, de un, je pense qu'il y a les tempéraments, là, aussi, là, tu sais, tout le monde connaît Jacob tu sais, je veux dire, t'as le genre, vraiment un bon tempérament, puis tu sais, t'es vraiment un bon chum, tu sais, je veux dire, il y a un immense réseau social, puis c'est pas pour rien, là, tu sais, fait que je pense qu'il y a les tempéraments de base, puis tu sais, je pense aussi, dès le départ, je me souviens, tu sais, on avait même écrit une petite lettre sur qu'est-ce qu'on voyait du futur, tu sais, tu sais, je pense aussi qu'il y a... On a aussi les mêmes objectifs de carrière et de business. Ce n'est pas comme, OK, moi, j'ai envie d'avoir mon lifestyle et toi, tu as envie d'amener une entreprise publique. C'est sûr que peu importe le tempérament. Il y a un clash quelque part. Il y a un clash. Je pense que les deux, on est très compétitifs, mais en même temps, on a envie d'avoir du fun, à builder quelque chose. Pas que ce soit juste l'atteinte de l'objectif, mais pendant ce temps-là, on… on a du fun puis un certain un certain équilibre on aime le sport fait que c'est ça puis on est chanceux bon film je sais pas si si on avait fait dix ans ensemble avec mon tempérament si on se serait jamais pas aimé moi puis c'est correct de se pogner les arguments c'est important
François lanthier Nadeau: d'en parler avec ludo dans grip justement quand on a des choses à ajouter on s'est dit le qu'un hit quoi qui bug, pis qu'on a l'impression que l'autre, il est pas livré ou pas fait de code cool, on le dit le plus vite possible, le plus poli, pis avec amour possible.
Luc Tremblay: On chicane, on fait l'amour, pis tout est réglé. Non,
François lanthier Nadeau: mais c'est important. Alright, t'as reçu le preview. Faut s'en parler, t'sais, c'est... Non,
Participant 5: elle peut pas croire, ça peut pas être le preview. T'avais juste la même... Les trois enfants,
François lanthier Nadeau: là. Alright, folks, break de 30 secondes pour vous parler de notre partenaire certifié Léviat Légal, un cabinet d'avocats boutique. technologie et capital de risque. L'Eviat légal, c'est des programmeurs en cravate. Ils ont carrément développé du software à l'interne pour automatiser les tâches répétitives puis passer l'économie aux clients. Donc, buy-buy, factures exorbitantes puis documents à papier infini. Leur philosophie, leur process est designé pour fitter avec la réalité des SaaS. Ils sont là pour des besoins transactionnels, genre financement ou stock options, ou plus ponctuels, comme de l'accompagnement légal à temps partiel. Un paquet d'entrepreneurs qui sont venus sur le pod font affaire avec eux puis me les ont recommandés. check out leur entrevue sur SaaSpasse.com slash partenaire avec un S slash Léviat très union légale ou sur notre YouTube ah pis le pod avec Guillaume le fondateur est bourré de knowledge épisode 73 check it out sinon direct à la source Léviat légal.com ok de retour au pod ouais mais c'est hot ça a été beau à voir aussi pis tu sais moi j'ai été chanceux d'être comme une cheerleader basically pour vous autres d'être sur les sidelines j'ai fait exprès de le dire au film en soit euh euh Puis, il y a une affaire que j'ai trouvée vraiment malade aussi, c'est que l'échelle, l'ampleur de C-Cube, ça vous a ouvert la porte à grandir professionnellement beaucoup.
Participant 2: Tu sais,
François lanthier Nadeau: on en parlait quand on était les deux compagnies, mettons, Snipcard, qui était une petite compagnie avec pas beaucoup de ressources, limitée. Puis vous aussi, pendant longtemps, tu sais, Ghost Mission, c'était Bootstrap, là. C'était pas une équipe de 50 personnes, right ? Nos équipes ont grandi très organiquement, très tranquillement. vous avez closé le merger avec Secube, c'est une affaire que j'avais dit à Luc où je me rappelle, comment tu te sens ? Parce que là, tes décisions comme dirigeant peuvent être, l'impact peut être multiplié parce que tu as différentes parties prenantes. Bon, tu as certains investisseurs, tu peux jouer avec le capital, tu as des membres d'équipe plus marketing-vente, tu as des membres d'équipe plus produits développement, tu as des contractants à l'extérieur, tu as comme un plus gros terrain de jeu décisionnel. Puis toi, Jacob, tu avais évidemment plus d'objectifs puis un niveau de complexité dans ce que tu vendais plus gros. Oui,
Jacob Gagnon: vraiment.
François lanthier Nadeau: Vraiment plus complexe. Ça a-tu donné un boost de motivation côté carrière, ça ? Parce que moi, à la distance que j'avais, j'étais comme ça, c'est cool, en crise, c'est pas vrai. Vraiment, ça a fait en sorte,
Jacob Gagnon: moi, j'ai repris ma motivation à 100 Ça reste qu'avec GoSumption, quand tu stagnes, Comme je parlais tout à l'heure, ça reste que la motivation, c'est sûr qu'il y a témoin là, un nouveau projet comme ça, de juste sentir justement que tes challenges n'ont plus fini. OK, qu'est-ce que je vends ? Premièrement, elle est beaucoup plus complexe. Puis ça peut avoir un gros impact sur la vie des entrepreneurs, sur leur business. J'étais comme OK, game on, puis let's go. C'est le sportif qui se porte. Non, non. C'est clair. C'est trippant. C'est trippant de vendre un produit comme ça, un SaaS. Ça reste que c'est très différent de qu'est-ce que j'ai vendu avec GoSumption. C'est beaucoup plus long aussi. Ça reste que moi, au début, tu sais, Go sur une mission, c'est facile. Tu veux des leads, tu veux faire croître ta business, parfait, t'embarques avec nous autres. Ça se fait relativement rapidement. Tandis qu'un entrepreneur, ça reste qu'il faut qu'il change toutes ses méthodes, toutes ses façons de fonctionner. C'est pas la même chose. Moi, justement, au début, une des erreurs qu'on a faites, c'est qu'on pensait justement que C-Cube, ça allait se vendre par soi-même, faire des petits canaux d'acquisition, puis de rentrer dans le funnel de vente, puis qu'avec des e-mails automatiques, une couple d'affaires, ça prend tout, ça marche zéro comme ça. C'est ça, là, aux cas qui s'inscrivent sur C-Cube. Écoute, qu'ils remplissent tout par soi-même, non, non, c'est complexe. Il faut que tu expliques qu'est-ce que ça va faire, qu'est-ce que ça va changer. Ça prend des appels, ça prend des rencontres, ça prend des démos. Mets ta barouette que c'est le fun au final quand tu réussis justement à le closer, en guillemets.
François lanthier Nadeau: Une fois que ces efforts-là et cette énergie de conversion, d'activation sont faites, vous avez aussi un type d'utilisateur qui ne va pas changer de logiciel à chaque fois de semaine. Exact. C'est ça qui me fait triper, moi. Le CAC payback, le moment où tu... paie le coût que ça peut coûter de l'acquérir, la personne n'est pas énorme. Ou du moins, la personne ne va pas churner dans un mois. Les triples de productivité, ils vont essayer un nouveau taux de productivité à chaque deux semaines.
Jacob Gagnon: Ils restent avec la technologie que tu as. Ça reste qu'on a des entrepreneurs, qu'ils étaient plus techno dans le passé, qui ont utilisé des logiciels depuis une dizaine d'années. C'est de la vieille techno qui n'est plus mise à jour. Ils restent avec ça parce que... Ils disent Écoute, je ne veux pas changer ma business. C'est tout à l'intérieur de ça. Mais ce n'est pas pour eux parce que c'est un tool qui n'a pas évolué au final, tandis que nous autres, on va le faire évoluer avec les années. Mais il reste avec justement la technologie que tu lui offres. Les entrepreneurs aussi sont tellement des gens qui ont besoin, mettons, de démos ou physiquement d'aller essayer des choses qu'on s'est fait approcher par un labo. C'est comme un test par une ville. Je ne peux pas la dire encore. Je ne suis pas sorti. Mais... il va avoir comme trois quatre tours que les entrepreneurs vont pouvoir venir physiquement venir l'essayer là bas parce que justement les entrepreneurs des fois il juste se connecter avec un google meeting des choses comme ça sont pas capables avec le c'est comme une place physique qui peuvent venir tester le chien lui va avoir des gens qui sont formés sur nos jeux sur nos logiciels qui vont venir les tester fait
Luc Tremblay: que mais c'est comme tout le monde de SaaS t comme ben voyons donc mettre une place physique avec des ipad juste pour faire assumer C'est la crowd qui... Ça l'aide à comprendre à quel point la crowd est manuelle.
François lanthier Nadeau: Je vais dire autre chose aussi. Même moi, quand je dois apprendre et adopter un nouveau logiciel, aujourd'hui, c'est ultra difficile parce que je suis toujours dérangé par tout ce qui se passe dans mon browser, sur mon cell. C'est comme si j'avais jamais un espace de focus qui me permettait de prendre le temps d'apprendre. Puis on dirait que le dédier dans un espace-temps physique... Moi, je trouve ça fucking sick. C'est beaucoup ça.
Luc Tremblay: Là, il y a le labo manuel, mais maintenant, on a bien grossi juste des formations. Les deux dernières semaines, on avait comme 50 personnes dans l'autre formation, l'autre 12. On le voit, ils veulent s'importer dans ces formations-là. Ça a été beaucoup le gros effort qu'on a fait dans la dernière année. Jacob, il est vraiment step in là-dessus d'aller dans les associations au Québec. Il y en a effectivement aussi. Moi,
Jacob Gagnon: ma job cet été, justement, c'était d'aller voir des associations, aller voir les DG, discuter avec eux, savoir s'il n'y avait pas une façon justement de faire des formations pour leurs entrepreneurs. On s'est fait reconnaître nos formations par l'ARBQ, l'ARBQ qui est la régie du bâtiment du Québec. Les entrepreneurs se doivent d'avoir une licence. Puis, c'est nouveau, depuis deux ans, ils sont obligés de faire un 16 heures de formation continue obligatoire. Donc, ils sont obligés de se former. Puis ça reste que la plupart des formations, souvent, c'était la santé, sécurité, des choses comme ça, des trucs que les entrepreneurs, des fois, sont peut-être un petit peu tannés d'entendre. Fait que là, on est rendu dispensateur de l'RBQ. On s'est fait reconnaître nos formations, puis on les donne dans certaines associations un petit peu partout au Québec. On leur apprend à utiliser notre éducateur. Exactement.
Luc Tremblay: C'est plus simple, plus facile.
Jacob Gagnon: C'est vraiment cool.
Luc Tremblay: Là, on est comme à la source de la formation des entrepreneurs. Fait que les nouveaux entrepreneurs, ceux qui font la formation continue, fait qu'on est vraiment comme… incrusté dans le processus, il n'y a pas mieux que ça. D'avoir une licence, l'étudiant a la licence gratuite et il commence avec notre logiciel.
François lanthier Nadeau: De plus en plus de SaaS, de founders qui viennent sur le pod me parlent justement de croître par partenariat. On dirait que c'est quelque chose que je n'ai pas assez exploré ou pas beaucoup exploré avec Snipcard. À chaque fois, je suis comme, tu as des canaux de distribution, des audiences déjà capturées, built-in. Il s'agit que tu fasses... un bondir le partenariat, puis tu peux distribuer ton soft comme du monde, si l'audience est de qualité, puis si les utilisateurs sont de qualité, puis tout ça, mais c'est fucking sick. Mais toi, Luc, comment t'as ajusté la dose de je me salis les manches dans les opérations, puis je réfléchis, je délègue, je travaille un peu sur ma vision stratégique parce que là, t'avais beaucoup plus de membres passants pour la deuxième partie que je viens de dire. T'avais beaucoup plus de barbares et avait plus de temps pour agace réfléchir stratégie zoua plus high level parce que quand tu as moins de ressources
Luc Tremblay: 100% et plus de l'heure mais en pratique j'avais pas beaucoup plus de temps parce que ça reste que on est on mais ce qui est nice de l'équipe le si on est 5 tout le monde est comme vraiment compétent dans leur sphère jacob les gens les ventes y comme les du goût de ses yeux les reines des ventes joliane qui est au haut Product owner, formatrice, t'es au support. C'est elle qui a la responsabilité de tout ça. Elle est super à sa coche. Les deux devs sont comme focus sur le dev. Ils sont vraiment compétents là-dessus aussi. Puis moi, je prenais quand même un... Je prends encore le rôle opérationnel du marketing. Fait qu'amener des leads puis de l'overview finance. Plus, je me salis les mains un peu dans la gestion du développement de produits. puis juste que tout le monde soit aligné, puis soit motivé, puis la stratégie globale. Fait que grosso modo, c'est ça. Je passe quand même beaucoup de temps, surtout en ce moment, à générer des leads puis que la gang, que notre croissance soit vraiment steep. Puis je te dirais, peut-être on se reparle dans deux, trois mois, une fois que la grosse saison pour les entrepreneurs, c'est là qu'ils font un changement numérique. au Québec, janvier-février. Après ça, on va être vraiment bien installés au Québec. Ça va nous laisser le temps de commencer des initiatives à l'extérieur du Québec. Puis, parce qu'on est bilingue, tout est là. On est déjà sur les sites de comparaison de logiciels. On est déjà super bien rankés. Fait qu'il faut juste mettre de l'effort à l'extérieur du Québec. Mais stagner, pas stagner les autres, mais c'est sûr que tout le monde... On a fait ça au début, genre, on lance au Canada anglais rapidement avec GoSummission. Tu sais, je veux dire, ton égo, ton sens de compétition veut que t'ailles... T'es comme... Tu te dis, je m'en vais à l'extérieur. Oh wow, félicitations. Mais tu sais, en réalité, je veux dire, ce qu'on connaît, les gens nous connaissent, le bouche-à-oreille va plus vite au Québec quand on est installé. Tu te souviens d'en profiter là pour l'instant, puis consolider nos acquis. C'est pour ça que là...
François lanthier Nadeau: En gardant un oeil sur comment tu vas croire, puis... Puis où tu vas croire trop ? Je pense qu'il y a beaucoup de gens qui font, OK, bien, dès que j'ai un tout petit peu de ressources, j'en déploie parce que je veux être au Canada anglais ou aux États-Unis, direct. Puis je répète ça récemment beaucoup, mais tu sais, mettons les gars d'Agendrix, eux autres, ils ont fait, attends un peu, pour nous, en termes de pénétration de marché en Europe francophone versus, mettons, en Amérique anglophone, il y a des gains puis une rapidité vraiment plus cool en première à avoir puis l'adaptation de notre software, notre documentation, notre support. était vraiment moindre, pis ils ont eu des gros gains là. Fait que je dis tout le temps au monde, comme, tu sais, juste faites, allez pas juste à quelque part, parce que c'est là que le monde va quand ils sont rendus à Scaly. Comme, tu sais, fais-toi une thèse, réfléchis un peu, pis bouge après, tu sais. C'est fucking cool, man. Je suis content de voir ça. Pis tu sais, ça me donne un update, là. Parce que veux, veux pas, la dernière fois qu'on a fait notre pas de raté, c'était l'été. Ah oui ! T'es passé mille fois. Ah, pis t'sais, on est en pleine...
Luc Tremblay: 30 à plus de users que j'avais.
Jacob Gagnon: La croissance commence à être bonne. Ce qui est le fun aussi, c'est que ça commence à jaser. Il y a plein de leads aussi. Il y a des entrepreneurs qui en parlent entre eux. Moi, j'utilise ce cube. C'est ça qui est le fun. C'est ça qu'on veut. Ça reste qu'au final, c'est nos utilisateurs qui sont notre meilleure façon justement de croître aussi.
Luc Tremblay: Pour cette croissance-là, Là aussi, ce qui est le fun, c'est au niveau du produit, il y a vraiment plein de choses qu'on peut développer, dont des intégrations, puis ça, ça va être dans les bons défis qui s'en viennent, des intégrations avec d'autres logiciels qui sont massivement utilisés par les entrepreneurs à l'extérieur du Québec, tu sais. Puis si on a fait l'intégration avec QuickBooks, bien, tu sais, il y a d'autres intégrations qui vont à l'extérieur de l'estimation à la facturation, puis que là, bien, on sait qu'on est vraiment compétents dans cette sphère-là. que de se connecter à eux autres, ben, si tu disais des partenariats, oui que les associations, c'est long, c'est très local.
François lanthier Nadeau: C'est le marketing par intégration.
Luc Tremblay: Exact, mais le marketing par intégration, ça peut être super intéressant. Ça va être la recul pour les devs, c'est des beaux défis qui s'en viennent.
François lanthier Nadeau: Mais il ne doit pas y avoir, parce que là, je suis en train de flasher. Au début, tu as commencé à dire ça, puis j'étais comme, ben, il ne l'offre pas. Tu veux dire 50 autres logiciels de construction, puis là, tu me dis non, tu n'es pas dans ces phases-là, ou ces to-do-là, nécessairement, qui utilisent d'autres logiciels. QuickBooks, c'en est un, mais tu sais, y'a-tu beaucoup d'endroits ou de logiciels différents au même endroit qui sont utilisés par des... J'essaie de voir s'il y a un plafond sur ton marketing vers l'intégration.
Luc Tremblay: Probablement. Mais tu sais, après la facturation, c'est la comptabilité. Fait que déjà, y'a une couple de logiciels comptables à intégrer, mais aussi, tu sais, c'est la gestion puis avant l'estimation, c'est la prise de mesure. Fait que tu sais, y'a des trucs comme...
Jacob Gagnon: Sur plan, mettons, ou choses comme ça.
Luc Tremblay: Sur plan, connexion avec Google Earth, puis voir les dimensions de ta toiture ou ton pavage avec l'intelligence artificielle automatiquement. Mais tu sais, soit on a un projet avec... Bien, en tout cas, soit on va se connecter des tools, puis on va le faire, mais tu sais, avoir là-dessus. Mais après ça, je te dirais qu'il y a autant de manières de faire quasiment que de business en construction. Fait que... Il y a aussi, surtout des business qui deviennent plus grandes. Nous autres, on couvre, disons, de zéro employé à 100. Autour de ça, c'est les entrepreneurs. Ils aiment bien gros notre logiciel. OK. Mais tu sais, quand il y a une couple d'entrepreneurs, tu sais, qui ont 100 employés, je parle, qui ont 50, 75, qui développent d'autres besoins, puis que là, ils auraient juste besoin, disons, d'avoir du reporting plus poussé. Ça fait qu'ils voudraient connecter une... la data brute à du reporting. Il voudrait gestion d'inventaire. On développera pas une grosse affaire de gestion d'inventaire. Bref, connecter différentes parties. Puis probablement que la première chose qu'on va faire, c'est connecter avec un Zapier ou connecter avec de quoi qui permet de connecter facilement au reste.
François lanthier Nadeau: Il y a Unito à Montréal qui font de la code vraiment cool dans la veine de Zapier. Puis j'interview une personne de là. Ah nice. J'ai hâte de voir.
Luc Tremblay: Nice.
François lanthier Nadeau: J'ai le goût d'avoir deux takeaways très pratico-pratiques au niveau de la croissance. Un vente, un Google Ads. Fait que côté GoSummission, puis le même C-Cube, tu fais de la vente, right ? Oui, exactement. Ça fait partie de ton processus de croissance. Qu'est-ce que ça prend pour gérer une bonne équipe de vente en SaaS ?
Jacob Gagnon: Écoute, ça prend un bon CRM, super important. Ça prend des gens qui sont extrêmement compétitifs aussi. Tu ne peux pas avoir des gens justement qui… Tu peux probablement avoir des gens qui ne sont pas nécessairement compétitifs, mais ça reste que les personnes, les vendeurs que j'ai embauchés, c'était des gens qui sont extrêmement compétitifs, qui ont le goût justement de se dépasser, qui ont le goût de vendre. Et puis, il faut que tu cares aussi pour tes employés-là. C'est important et c'est une relation. Moi, ça reste qu'on allait prendre des bières après tout ça, puis c'est qu'ils me comptaient un peu leur vie, que je chantais justement, que j'étais leur ami aussi, que je n'étais pas juste nécessairement leur boss. Moi, je cares vraiment pour eux. C'est des personnes que j'apprécie énormément. Je pense que ça... Coach,
François lanthier Nadeau: un peu, des fois, quasiment.
Jacob Gagnon: Quasiment, exactement. Coach,
François lanthier Nadeau: mais qui joue pareil.
Jacob Gagnon: J'en fais encore, puis c'est ça. Écoute, moi, je n'ai fait de temps. Fait que les autres, ils se disent, OK, moi aussi, je vais être capable. Puis je vais me motiver à dépasser. Faire un esprit compétitif. Oui, exact.
François lanthier Nadeau: Une certaine aisance, je pense, avec la notion de commission,
Jacob Gagnon: qui fait partie de la certaine tolérance au risque. J'ai été driveé aussi beaucoup par ça, au final. Si c'était juste un salaire horaire, je ne pense pas que je serais capable d'attirer les mêmes talents, nécessairement. Tu veux des gens qui sont capables de dire Écoute, je veux avoir une plus grosse paie. Bien, fine, mais vend plus.
François lanthier Nadeau: Le bon CRM et le bon tooling, j'imagine, c'est dans l'optique de mesurer, attribuer les résultats, être capable d'avoir une approximation de la réalité et des faits qui font qu'on évalue à partir de ça. Exactement.
Jacob Gagnon: Il y a aussi certaines automatisations que tu peux faire avec le CRM. C'est des courriels qui sont envoyés automatiquement. C'est comme ça qu'ils font en sorte que ça te sauve un petit peu de job et que ça facilite le...
Luc Tremblay: OK. Je pense même en premier, c'est l'organisation de leur travail, d'être mieux organisé et d'automatiser.
Jacob Gagnon: J'ai eu beaucoup de difficultés à faire à la base et merci à Luc de m'avoir aidé là-dessus. Mais c'est ça, un coup que le CRM est bien monté, qu'ils sont bien organisés, qu'ils ont un esprit compétitif, ça va par soi.
François lanthier Nadeau: Google Ads, toi, man, t'as fait ton temps, disons, dans Google Ads avec GoSummission, t'en as fait pas mal. Puis c'était un, si c'est pas le canal d'acquisition principal pour Google Ads.
Luc Tremblay: Pour GoSummission, ouais.
François lanthier Nadeau: Pour VamoSummissionness. Donne-moi un ou deux trucs là-dessus, genre. Ok, mettons, un entrepreneur sa vie comme toi, qui aime de se salir un petit peu les mains dans ce canal-là, qui est orienté un peu chiffre ou quoi que ce soit. As-tu un ou deux conseils pour utiliser ce canal d'acquisition-lance ?
Luc Tremblay: Venant du gars par excellence de SEO. Au Québec,
François lanthier Nadeau: nul.
Luc Tremblay: Oui, exact. C'est comme deux avenues possibles. Je te dirais, bon, Google Ads, je pense que ça peut avoir du monde, ils le savent, mais grosso modo, quand tu fais une recherche, les premiers résultats qui arrivent sont payants, puis il y a des business qui ont payé pour arriver là. Tu sais... Ce n'est pas une science nucléaire, mais je te dirais que d'utiliser les negative keywords de façon… Explique,
François lanthier Nadeau: c'est quoi ?
Luc Tremblay: Tu peux mettre des mots-clés négatifs dans tes annonces. Là, tu buildes une annonce. Google Submission a comparé trois submissions en 48 heures. Puis cette annonce-là, tu vas avoir des mots-clés génériques. Google, eux autres, ils vont aller le plus large possible pour… Pour te donner de l'impression. pour donner de l'impression. Fait que t'sais, entrepreneur en toiture, soumission de rénovation. Puis ça va faire en sorte que, puis disons construction de garage, mais là au début, tu vas afficher, au lieu de construire une garage, il va avoir cherché garage d'auto en construction. T'sais ? Oui, oui. Pas pendant tout. Fait que là, au fil du temps, c'est juste, moi je pense, au départ, tu te mets une récurrence TD de genre 15 minutes par semaine où tu regardes les... les vrais search terms, les termes de recherche qui ont été cherchés, puis tu regardes un par un, tu te dis ça, ça ne prend pas. Je ne cherche pas pour ma business. Puis tu le mets dans negative keywords de toute ta campagne. Ça,
François lanthier Nadeau: c'est un low hanging fruit d'optimiser ta campagne. Oui, oui.
Luc Tremblay: C'est bon. Vraiment de base. Après ça, c'est plus des conseils de SEO, où il faut que ton site web soit rapide. Il faut aussi que ta landing page, le H1, Ça soit le même que ton annonce, puis que ça soit le même que tes mots-clés qu'ils recherchent. Fait qu'il y a une cohérence entre l'annonce, les mots-clés, puis ta landing page.
François lanthier Nadeau: Ça, ça affecte l'espèce de score de qualité de ton annonce. Exact.
Luc Tremblay: Le score, puis ça te fait payer moins cher, puis ça fait en sorte que t'es là plus longtemps.
François lanthier Nadeau: Puis, y a-tu des erreurs que vous avez faites dans votre parcours, que ce soit avec Gosummission que ce soit avec... Le merger qui s'est passé avec Secube ou récemment que vous avez le goût de partager, mettons, pour d'autres fondateurs ou pros ?
Jacob Gagnon: Comme on a discuté un petit peu tout à l'heure, vraiment, une des grosses erreurs qu'on a faites, c'est d'essayer d'automatiser un petit peu notre canal d'acquisition avec Secube. Clairement, on a perdu quand même une couple de mois là-dessus, vraiment, à faire écoute. Je pense que ça va rentrer par soi-même. Les gens vont s'inscrire par soi-même sur Secube. Ok, il s'inscrivait, mais au final, il n'y avait pas de subscription qui arrivait. On a essayé quand même un bon bout de temps, une couple de mois, puis on a perdu un petit peu de temps par rapport à ça. On l'a corrigé maintenant, puis on est revenu à notre bonne vieille méthode de vendre direct un petit peu plus. Maintenant, ça va super bien, mais ça a été quand même... On a perdu quelques mois là-dessus.
Luc Tremblay: Je dirais... Une des choses qu'on aurait faite différemment, c'était plus suite à la fusion, c'était plus au niveau technique, les tests unitaires pour l'app.
François lanthier Nadeau: Explique, c'est quoi grossièrement un test unitaire ou un test d'intégration ?
Luc Tremblay: Les devs écrivent des lignes de code pour faire une fonctionnalité. Le test unitaire, ça va être peut-être un 20 de temps ou environ demi après pour écrire du code, pour tester leurs codes qu'ils ont écrits. Grosso modo, c'est ça les tests unitaires. En mode start-up, je ship le plus rapidement le produit. C'est quand même commun de faire comme, on ne fait pas de tests unitaires, on ship le plus vite possible le produit. Il faut que j'arrête de faire ça. Piano man. C'est quand même commun, mais quand tu t'en viens avec une grosse plateforme qui a été développée depuis 10 ans comme nous autres, le power de test... Quand tu joues une place, ça risque de jouer à l'autre place.
François lanthier Nadeau: On s'était fait dire qu'il y avait des tests unitaires.
Jacob Gagnon: On s'était fait avoir un petit peu tabarou. On s'était fait dire qu'il y avait des tests unitaires.
François lanthier Nadeau: Le sujet de résumé, c'est que dans la phase de vérification diligente, où tu t'assures que l'autre partie a ses ducks in a row, que tout est clean. Le côté, genre, checker le code, tester le code, être sûr que quand tu scales ça, ça va pas péter, ça, c'est quelque chose que t'aurais aimé. Mettre plus de love, un peu, sur ce truc. Plus de love,
Luc Tremblay: mais en même temps, on a embauché quelqu'un pour savoir si les tests unitaires, il nous a dit que oui. Tu sais, c'était comme... Ça serait tough de changer ça, là, tu sais, à vrai dire. Mais, par contre, après, après, quand tu passes, comme, OK, développons le futur, ben là, quand t'as pas de tests unitaires du tout, ben là, au moins... les prochaines fonctionnalités que tu développes, mais t'assurer qu'ils font des tests unitaires pour les nouvelles fonctionnalités que tu as, puis au moins, peu à peu, inclure dans ton temps de développement du temps de réparer cette dette-là.
François lanthier Nadeau: Augmenter la couverture de tests que tu as dans ton code base.
Luc Tremblay: Ou au moins, ceux qui le buildent, un moment donné, faites des tests unitaires, ça va être utile. Aussi, nous autres, ce qui est arrivé, c'est qu'on a changé le langage de programmation pour l'updater. Avant une nouvelle grosse... un gros release de fonctionnalité où j'ai changé le langage au complet, tu ne changes pas le langage sans avoir remis à jour tes tests unitaires. Tu mets ce chunk-là avant. C'est un peu technique, mais bref. Non,
François lanthier Nadeau: c'est méga pertinent. Je pense aussi que ce conseil-là vient d'un petit trauma, right ? Parce que moi, j'étais comme derrière le rideau. on avait parlé genre on a fait tel change on a fait telle mise à jour on est entre nous autres je n'ai pas besoin d'entrer dans les détails mais oui absolument ça fait ce côté sport côté genre il faut que je gère une urgence on a un peu supplié comme next
Luc Tremblay: time oui oui oui il y a eu du sang par chance on avait quand ta plateforme va pas bien ou qu'il y a des bugs, je veux dire, c'est là le temps qu'il t'aille le meilleur support. Exact. Fait que déjà, on avait un support vraiment bon. C'est Joliane qui est là. Je veux dire, elle est pro de l'industrie. Elle connaît bien l'industrie. Puis, elle répond tout le temps, vraiment rapidement. Fait que c'est ça. Au moins,
François lanthier Nadeau: on a eu le bon support. De prouver que tu es un bon gestionnaire, je trouve. Quand il y a certaines crises, peu importe le niveau d'intensité ou whatever. D'arriver pis d'être en mode genre solution constructif, pas taper sur la tête du monde genre à l'avance ou direct, pis d'être comme « voici ce qu'on va faire, voici le plan, pis après faire un post mortem sans lancer du monde direct en dessous du bus pis whatever » . Ah oui, c'est ça.
Jacob Gagnon: C'est des bons challenges.
François lanthier Nadeau: C'est hot, c'est le même qu'on grandit aujourd'hui.
Jacob Gagnon: On a appris énormément, mettons.
François lanthier Nadeau: Mettons rapidement, genre qu'est-ce qui est le plus le fun dans le business aujourd'hui, pis qu'est-ce qui est le plus tough, chacun. Qu'est-ce qui est le plus fun ? C'est qu'on travaille encore, je pense, ensemble. Non, mais c'est la vérité, encore. C'est qu'on travaille encore.
Jacob Gagnon: Non, mais ce qui est le fun, c'est la dynamique, je pense, qu'on a aussi avec le fait qu'on est une petite équipe. Moi, c'est d'arriver au bureau, la dynamique qu'on a, je trouve ça super plaisant. J'ai du fun à chaque fois que je rentre travailler. Ça reste que les dernières années, juste avec Gosummission tu te lèves un petit peu, je ne sais pas, un petit peu moins crinqué le matin, tandis que là, je me lève. Ça me tente, moi juste de voir qu'on a une belle croissance, c'est ce qui me motive à chaque jour. Je suis un gars de vente, donc au final, c'est ça, c'est pas un pain pour moi de rentrer le matin. Est-ce qu'il y a de plus le fun ?
Luc Tremblay: Ben, il y a plein de choses de le fun, pour vrai, je veux dire, tu sais, je pense que tout le monde le voit dans l'équipe, comment c'est le début. Je voudrais même si le logiciel, il s'accroche déjà. On ne part pas ligne zéro. Mais par contre, c'est le début de notre future organisation. Je veux dire, on est cinq, puis là, je veux dire, on commence à avoir de l'attraction. Il y a plein de belles choses à développer encore sur le produit. Puis en même temps, il y a comme le fil de start-up, tout le monde ensemble, mais quand même une stabilité. On a des clients, ils sont encore là. On a des nouveaux clients qui rentrent. C'est comme le bond du côté startup de grisant de comme, yes, on a sorti cette nouvelle fonctionnalité. Yes, on a des nouveaux clients. Yes, on a ce nouveau canal qu'on a essayé pour acquérir au partenariat. Ça fonctionne. Puis qu'on célèbre tout ça ensemble. Puis le côté en même temps comme… OK, on va tous avoir des payes la semaine prochaine, puis ça va bien aller là-dessus.
François lanthier Nadeau: C'est tout ce yes, yes, yes là, sans le fuck, je ne sais pas si le monde va vraiment vouloir acheter ça, notre software, puis si on va être capable de vivre de ça.
Luc Tremblay: Oui, oui, exact. Fait que je te dirais que c'est ça. Puis moi, ce que j'aime aussi, c'est que là, tout le monde ensemble, on a déterminé quel genre d'organisation on veut faire pour le futur. pas juste, je parle pas de copy-eye ou quoi que ce soit, mais tu sais, dans nos... Tu sais, on s'entend, là, tu sais, le business, c'est dans les petits détails qu'on fait au day-to-day qui rend ça le fun. Fait que tu sais, OK, quel genre d'activité on fait ensemble, quel genre de trucs on... Tu sais, qu'est-ce qu'on fait au day-to-day qui fait en sorte qu'on a du fun, mais qu'on évolue aussi, tout le monde, au niveau carrière. Fait que je sens que tout le monde est comme vraiment motivé à faire croire de ses cubes, puis... C'est vraiment cool. Puis ce qui est moins le fun...
François lanthier Nadeau: Le plus tough, rapidement, mettons.
Jacob Gagnon: Le plus tough. En ce moment, j'ai rien qui me vient en tête pour le podcast.
Luc Tremblay: Moi non plus.
Jacob Gagnon: Le podcast un lundi. Ça va pas être facile. S'il y a rien qui vient,
François lanthier Nadeau: on mettra ça dans le jeu. Ah, c'est flat.
Jacob Gagnon: J'ai rien qui vient en tête.
François lanthier Nadeau: Ce que je trouve fort,
Participant 5: c'est...
François lanthier Nadeau: En ce moment,
Jacob Gagnon: ça va tellement bien, je trouve,
François lanthier Nadeau: que je n'ai rien qui me vient en tête que c'est quelque chose de top. C'est bien.
Participant 5: Exact. Oui, oui.
François lanthier Nadeau: On se reparle. Question un peu philosophique que j'aime bien tout le temps poser. Y a-t-il quelque chose sur quoi vous avez changé d'idée dans les cinq dernières années, que ce soit business ou personnel, peu importe ? Tu poses des bonnes questions. Oui,
Luc Tremblay: je pense... Je pense que, bien, on se l'était fait dire, mais je pense que la complexité de faire une fusion en question, puis le temps que ça prend, je pense que la nôtre a été particulière. Il y a eu beaucoup de parties prenantes, puis ça, tu sais, ça a été drainant. Ça a été long. Vraiment long.
Jacob Gagnon: Ça a été cher.
Luc Tremblay: Cher, oui, exactement. Oui,
Jacob Gagnon: c'était vraiment plus cher que ce qu'on s'attendait de faire. Ça coûte plus cher en cash, ça coûte plus cher en temps que tu penses. Oui, Luc, tu as géré solide ce dossier-là, mais c'est en toi, honnêtement, je pense, pourquoi on aurait fait... de me rester quelque chose de ça une belle année facile même un peu plus que seul avant d'arriver justement que tout soit fait je t'ai dit avant que tu mettes à bon on en est déjà parlé of cam si tu avais que tu met ta main dans le dans ce lot dans tu sais parce que moi
Luc Tremblay: demain est un peu de traction tu le joues de la recevoir au moins un courriel par semaine de d'acquisition mais c'est moindrement que tu y réponds où tu me le g filtre automatiquement même c'est moindrement que tu prête attention à se faire acheter ou fusion, ben, faut que tu comprennes qu'une bonne partie de ton temps va être détourné vers là. Fait que faut que tu sois prêt à, un, mettre le temps, un, défocusser ton produit pis ta croissance pis ton équipe partiellement, pis trois, mettre l'argent, là, tu sais. Si ça marche pas,
François lanthier Nadeau: tu vas avoir mis ce temps-là, cet argent-là, ce manque de focus-là, pareil.
Luc Tremblay: Exact, là, tu sais. Faut que t'aies une valeur de ta business qui, tu sais, qui justifie. Parce qu'il y a comme un coût fixe. C'est pas comme, ah, ta business, ça vaut 300 000, ça va te coûter 1 de ça. Je veux dire, il y a comme un coût de départ. Si ta business a généralement des profits, genre 40 000 par année, puis tu fais 200 000 ça va te coûter bien trop cher, la vente. Je comprends.
François lanthier Nadeau: À moins que tu fasses affaire avec le viat légal pour t'en certifier.
Luc Tremblay: Certain. On a deux devs en ce moment. Puis on va ouvrir un nouveau poste de développeur web. Fait que notre langage, c'est Ruby on Rails, puis Amber. OK. Fait que si vous êtes intéressé ou si vous avez de l'expérience là-dedans, notre porte est ouverte. Puis je pense que c'est embauchemoi.ccubeapp.com. Embauchemoi d'un trait, c'est C-U-B-E-A-P-P-P-P-O-N-G-O-M.
François lanthier Nadeau: OK. Le poste va sortir dans 4 à 6 semaines, donc le poste risque d'être ouvert. Le timing risque d'être bon. Cette personne-là peut-elle être Québec, Canada, international, remote, local ? Qu'est-ce qu'on aime ?
Luc Tremblay: Elle peut être de n'importe où. On avait notre lead dev qui était au Maroc, qui vient d'arriver au Québec. C'est sûr qu'on a deux devs qui sont quasiment full-time au bureau. C'est fun. Préférable, c'est le fun, quelqu'un de Québec, mais pour vrai, de n'importe où appliquer. Télétravail, flexible, puis... Fait que la stack,
François lanthier Nadeau: on l'a mentionné. Fait que là, tu cherches quelqu'un qui est plus front-end, back-end, full stack idéalement. T'as-tu un...
Luc Tremblay: Ouais. Full stack. Pour vrai, le... Ouais. Full stack.
François lanthier Nadeau: Full stack. Puis il va y avoir déjà deux personnes qui connaissent le code base, qui ont de l'expérience. Ça fait que tu ne rentres pas dans un chantier qui n'a rien de fait. Non,
Luc Tremblay: exact. Les deux, ça fait deux ans qu'ils sont avec nous. Puis c'est ça.
François lanthier Nadeau: C'est très cool. Il va-tu avoir d'autres job openings dans quatre à six semaines au cas où ? Bien, anyway, ça va être écrit sur la section carrière ou emploi de votre site, j'imagine. CQBAP.com.
Luc Tremblay: CQBAP.com, exact. Puis pour vrai, c'est… Un, les devs, c'est sûr qu'il va y avoir des rencontres avec les devs. Les devs, ils ont bien du fun. Puis, je pense que c'est l'opportunité aussi d'avoir un impact dans une industrie moins sexy, mais qui change la game. Il y a des business qui font moins faillite en utilisant ces activités, ce qui est quand même très cool. Puis, des beaux défis qui s'en viennent aussi. On a des projets avec le pari d'R&D. Oui,
François lanthier Nadeau: tu m'en avais parlé un peu, c'est vrai. Puis si jamais le monde veut plus de détails, whatever, ils peuvent glisser dans les DMs LinkedIn de Luc. Ouais. Pour tous ces Lucs. Pour tous ces Lucs. Luc Tremblay-Ferret.
Luc Tremblay: Je ne suis pas le Hall D, mais je vais répondre à un moment donné, c'est clair.
François lanthier Nadeau: Parfait. Guys, love you both. Merci d'être venus puis bon succès pour la cigarette. Merci, François. Bye-bye.
Updates sur le podcast, la cie, les events IRL. Contenu premium pour les abonnés SaaSpal — éditorial de Frank, Q&A, roadmap du pod.