Aujourd’hui sur le pod, épisode solo molo, où je vous explique je suis qui, c’est quoi SaaSpasse, et pourquoi vous devriez écouter le podcast.
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François Lanthier Nadeau: Hey, what's up, folks ? C'est François Lanthier Nadeau. Bienvenue sur SaaSpasse, le podcast où on jase de croître un SaaS ou une carrière en SaaS au Québec. On est maintenant sur Spotify, Apollo Podcasts et pas mal tous les autres. Donc, vous êtes pas game d'aller vous abonner. Ça serait smart. Il nous faut assez de downloads pour avoir des commandites. pour enfin réussir à payer Producer Ludo, a.k.a. le pro du bono, a.k.a. the real pussycat. Donc, on drop un épisode par semaine minimum. C'est des discussions sans filtre avec des founders ou des employés clés en SaaS. D'ailleurs, si vous faites partie d'un SaaS au Québec, allez sur SaaSpasse.com, cliquez sur le gros bouton mauve Ajouter votre SaaS pour être indexé dans notre répertoire des SaaS au Québec. Aujourd'hui sur le pod, un épisode solo, mollo, où je vous explique je suis qui, c'est quoi SaaSpasse et pourquoi vous devriez écouter le pod. podcast. All right, on passe au show. Let's go ! All right, bienvenue tout le monde au premier show, au premier épisode de SaaSpasse. Pourquoi SaaSpasse ? Premièrement, épique jeu de mots. Deuxièmement, le nom de domaine était dispo. Mais blague à part, parce que j'ai enfin le temps de m'investir dans un projet qui est différent de la startup à laquelle j'ai dédié la majorité de mon temps et de ma carrière dans les neuf dernières années. Pour ceux qui ne me connaissent pas, François Lantier-Nadeau. J'ai commencé stagiaire chez Snipcard une solution e-commerce pour développeurs web. En 2014, je pense. Puis lentement, mais sûrement, j'ai fait mon chemin dans cette industrie assez dynamique. Et puis, j'ai géré le marketing. J'ai eu de l'équité un petit peu dans cette compagnie-là. Je me suis fait des amis. Les boss, les collègues sont devenus des amis proches. Puis éventuellement, j'ai géré le produit. Puis éventuellement, j'ai géré la compagnie. Je suis devenu le CEO. J'ai pris plus d'équité rendue là. Ça a été tout qu'une ride. Ça a été, en toute honnêteté, assez insane. Surtout, vous vous en doutez, si j'ai mentionné e-commerce, quand c'était la pandémie, l'e-commerce a explosé. Beaucoup d'industries ont souffert. Celle-ci, on a eu le cul bordé de nouilles un petit peu. On a vraiment pris de l'expansion. Puis, pour ceux qui me connaissent, vous savez que... on l'a vendu, notre compagnie. J'en ai parlé sur mon blog, j'en ai parlé dans les podcasts, j'en ai parlé à tous ceux qui voulaient l'entendre dans les soupers et les dîners au resto. Mais on a vendu notre startup bootstrapped, indépendante de Québec. On a vendu ça à DUDA. D-U-D-A. DUDA, c'est un website builder pour agence numérique marketing. Compagnie qui est incorporeuse aux States. Par contre... Une compagnie qui a la majorité de sa force de travail à Tel Aviv, en Israël. Donc, nous, ça n'a jamais été le plan de vente. Par contre, comme dirait The Godfather, ou quelque chose dans le genre, la ref, ils nous ont fait une offre qu'on ne pouvait pas refuser. Puis, écoutez, cette histoire-là, sur flentiernado.com et partout, je mettrai ça dans les... les show notes. Donc, je ne vais pas compter toute cette histoire-là dans le premier pod. Mais, tout ça pour dire que 2021, on a closé ce deal-là. Deux des partners, Georges, Saas Vincent Girard, de chez Spectrum Média à Québec, on exit. Les deux autres partners, Channel Ouellet et moi, on est restés. On est restés chez Duda. Puis, on avait une période de earn-out de trois ans. Donc, ça a fait... un an et demi, la moitié de cette période-là en janvier. En janvier cette année, 2023. Et puis après mûre réflexion, c'est-à-dire des mois à virer ça tout bord, tout côté, dans ma tête, à recevoir des conseils contradictoires de la part de gens que j'aime et que je respecte, j'ai finalement décidé de tirer la plug. J'ai décidé de mettre fin à ce chapitre-là pour ma... C'est le chapitre-là de ma carrière, qui était Snipcard slash Duda. La raison pourquoi j'ai décidé de faire ça, si j'avais à la résumer, mettons, à... à mes collègues, à mes pairs, à ceux qui m'écoutent ou à ceux qui ont été dans des situations semblables par rapport à un merger and acquisition, des transitions, tout ça. C'est vraiment parce que je me suis rendu compte que j'aimais ça être un high stakes joueur dans des petits environnements. Donc, avoir des responsabilités critiques et un impact assez important, mais dans des petites compagnies, dans des petites organisations. J'ai essayé chez Duda qui est une super belle compagnie, juste de l'amour pour cette compagnie-là. Ils ont changé ma vie, ils ont changé la vie de plusieurs employés. J'ai essayé d'être un high stakes joueur là-dedans, de prendre plus de responsabilités. On m'a offert une promo pour devenir vice-président Producer Marketing, Content Marketing. J'y ai pensé trois secondes et quart. Je me suis dit, ça fit dans la narrative. Let's go, on jump. Je vais être un des... Il n'y a pas beaucoup de VP dans des compagnies comme ça qui sont pré-IPO. Je vais être haut dans l'organigramme. Si la compagnie est IPO, c'est prestigieux. Ça va être tout qu'une ride. Je me comptais beaucoup cette histoire-là. Je pense que j'y croyais à mon départ. Ça m'excitait beaucoup. Donc, à travers différents voyages, en Israël, au Colorado, tout ça, j'ai pris ces nouvelles responsabilités-là. Je pense que je n'avais pas pesé le poids de ces responsabilités-là dans une organisation qui est plus grande et plus complexe que celle que moi, j'ai runnée pendant quelques années. C'est-à-dire que Duda, c'est 200-ish personnes. Ça a fluctué un petit peu avec la croissance, puis ensuite les... Les fameuses mises à pied en tech dont vous avez probablement entendu parler. Mais Duda, c'est multiculturel, c'est multi-time zone, c'est multi-pays, un paquet d'affaires. Et puis moi, arriver dans une organisation qui a ce niveau de complexité-là, puis avoir des tâches vraiment importantes et critiques à accomplir, comme construire des équipes. former des personnes, construire des ponts entre différents départements de cette organisation-là, ça a été quelque chose qui a été vraiment, vraiment difficile pour moi. Je pense aussi, mettons que je suis honnête, que je n'étais pas au top de ma forme quand j'ai pris ce rôle de VP-là. C'est-à-dire que je venais de passer un an, sept mois à négocier, ensuite huit mois-ish. à intégrer notre compagnie dans la nouvelle compagnie qu'ils nous ont achetée. J'étais brûlé. On avait doublé la size de l'équipe. Donc, je pense pas que c'était le meilleur moment dans ma vie pour essayer de chausser des nouvelles chaussures que j'ai jamais cassées avant. Fait que j'ai essayé pendant quatre mois. Il y avait beaucoup, beaucoup d'attentes. Il y avait beaucoup, beaucoup de meetings, beaucoup de process, des choses auxquelles j'étais pas nécessairement habitué, venant du milieu plus bootstrap pis un plus petit milieu. Et puis, après quatre mois, j'ai passé proche du burn-out. Puis je me suis dit, écoute, j'ai vendu ma compagnie. Je travaillais moins que ça. J'étais moins stressé que ça avant de la vendre, quand c'était ma compagnie. Là, tu sais, ça fait aucun sens que je me donne à ce point-là et que je me fasse mal, basically, right ? Parce que je n'étais pas bien. Je n'étais pas sur mon X du tout. Puis les deux parties n'étaient pas contentes. Ça a été un petit peu tough pour mon ego carriériste, whatever, mais j'ai demandé une démotion. Donc, j'ai dit, hey, trop cool le rôle de VP, pas pour moi, du moins pas pour moi dans le moment. Est-ce que je peux retourner à juste m'occuper de mon équipe au Québec ? Puis mes boss, CEO, CTO chez Duda, trop des nice guys. Ils ont dit, sure thing, pas de problème, on comprend, tu sais. Merci d'avoir essayé, c'est dommage, mais au moins on l'a essayé. Donc là, la pression a retombé. Je suis revenu plus local, plus focus sur mon équipe à Québec, c'est-à-dire le bureau canadien de Duda, qui roule encore le produit core qui était Snipcard. C'est encore en vie, Snipcard. Et puis, je me suis concentré là-dessus, mais par contre, on s'entend, je travaillais 40 heures semaine, j'avais un salaire qui rentrait, il fallait que je fasse de quoi de concret et pertinent pour l'organisation. Donc, on avait un besoin au niveau product management et product marketing. Une espèce de besoin hybride. à régler dans l'organisation. J'ai dit, regardez, regarde, pas besoin d'embaucher, je vais m'occuper de Tim en place, tant qu'à revenir plus local, puis à laisser faire le rôle de VP. Donc, c'est ça que j'ai fait. Au début, j'étais bien, c'était cool. Par contre, ça a aussi coïncidé avec l'espèce de spirale du marché vers le bas où il y a eu des mises à pied. Doudon n'a pas été immunisé de tout ça. On a laissé partir un peu plus que 10 de la compagnie. Donc moi, j'ai dû laisser partir des personnes à Québec. C'est quand même tough. Franchement, quand tu es bootstrap et que tu as une croissance très lente, très saine, très organique... tes embauches et tes renvois, ça arrive à une fréquence très, très smooth, mettons. Ce n'est pas du tout le temps. Alors que là, j'avais doublé la team, il y avait moins de six mois, il y avait certaines de ces personnes-là qu'il fallait qu'elles partent. Donc, ça m'a quand même rentré dedans émotivement. Ce n'est clairement pas ma partie préférée d'envoyer des personnes que je respecte. Mais on l'a fait. Puis là, on se trouve à être comme, juste pour vous situer dans le temps, on se trouve à être comme à l'automne de l'année dernière, 2022. Puis éventuellement, je me suis rendu compte que mon niveau de motivation, en étant un joueur qui n'était pas critique, pas un high stakes player comme je parlais plus tôt, puis j'avais certains 2-3 niveaux de management par le 6 mois, des trucs auxquels je ne suis pas trop habitué. Je faisais des tâches qui étaient intéressantes, super valuable pour l'accompagner, mais moi, c'était plus là dans ma tête dans ma carrière à faire ces trucs opérationnels. Lentement et sûrement, j'ai vu ma motivation de gringoler. À partir de ce moment-là, je suis devenu un peu plus négatif. Je procrastinais plus, même des fois des petites touches de cynisme dans mon attitude. J'ai eu un moment de métacognition où j'ai fait... Hey, yo, je regardais cette personne-là, mettons, François, avec sa relation actuelle avec son travail, puis j'étais comme, ça n'a jamais été ça, ma vie. Ça n'a jamais été d'être un petit peu, que ce soit juste meh, la job J'ai jamais été dans ce mindset-là, ça a toujours fait partie core de mon identité, j'étais fier de ce que je faisais, tu sais, j'avais, pour pas être cliché, mais j'avais des... Ça brillait dans mes yeux quand je parlais de ma job, je trippais en malade. Puis là, of course. Il restait un an et demi de earn out Ça vient avec certains avantages financiers, comme la majorité des deals dans ce style-là. Donc, il restait de l'argent sur la table. Par contre, après moins de réflexion, comme je disais au début du pod, je me suis dit je n'ai pas le goût d'être ce gars-là. J'ai le goût de retrouver le gars qui tripe sur ce qu'il fait, qui est passionné, et puis qui travaille un peu plus pour lui-même et ses trucs. Donc, j'ai fait le move. J'ai donné ma démission en janvier de cette année. Donc, j'avais comme un 45 jours de notice, tout ça. Puis, c'est drôle parce que j'enregistre pas de là le soir, la veille de ma dernière journée chez Duda, qui est aussi ma dernière journée chez Snipcard right ? Ces deux compagnies-là qui ont été super, super meaningful pour moi dans ma vie, ma carrière, ça va être fini. Puis je suis un petit peu émotif par rapport à ça, parce que, tu sais, veux, veux pas, j'ai tissé des liens profonds, j'ai eu des expériences, j'ai appris des trucs, j'ai eu du fun, vraiment beaucoup, beaucoup, beaucoup de fun dans ces neuf années-là. Et puis là, ça tire à sa fin, tu sais. Mais je pense que c'est pour le mieux. Je pense que c'est pour le mieux parce que je le fais pour les bonnes raisons. Je le fais vraiment en respectant à peu près, tu sais, qui que je suis, moi, tu sais. C'est où mon X ? Je le sais un peu plus. J'ai 33 ans, je n'ai fait des conneries. Je le sais quand je suis passé mon X, puis là, c'est comme ça que je me sentais. Il y en a qui capotent, qui disent Mon Dieu, tu laisses autant de dollars sur la table. Il y en a qui sont bien contents. Il y en a qui pensent que ma santé mentale était sur le bord de crash it down puis qu'il fallait que je m'en aille. Non, c'est juste que je n'étais pas sur mon X. Ce n'est pas plus compliqué que ça. Il n'y a pas de grosse histoire. Il n'y a pas de bad blood Il n'y a pas de beef Tout va bien avec Duda. Tout va bien avec ma team chez Snipcard à Québec. C'est juste que c'est le temps pour moi de move on Puis, sur quoi je move on Ça devient un petit peu plus ça le sujet du pod. C'est une grosse intro pour le contexte de qui je suis, où j'en suis dans ma vie, et pourquoi je vous jase sur un nouveau pod aujourd'hui. En fait, pour le restant de mon année, je vais faire un split aff and aff La moitié du temps, je vais faire de la consultation avec des SaaS, des start-up tech. à Québec-Montréal. J'ai déjà quelques clients de lined up. Puis l'autre moitié, je vais me remettre en mode construire, idéation, validation, traction, en mode démarrage de Startup Tech de SaaS. Puis, je m'ennuie que ma tête et mon cerveau soient dans ce mode-là. Donc, je me force à m'y remettre. Puis, un de ces side projects-là, plus je travaille là-dessus, plus ça m'intéresse, moins je me dis que ça va être side comme project, mais on verra. C'est SaaSpasse. Comme je vous disais, un jeu de mots que j'ai toujours bien aimé. Mais sinon, j'ai envie que ce projet-là devienne une espèce d'ode, d'hommage à cette industrie-là qui, pour moi, a changé ma relation avec le travail, qui m'a donné confiance en moi. qui a joué une grosse partie de construire mon identité comme jeune adulte. Tout ça. Puis qui m'a prouvé que ça pouvait être vraiment le fun, vraiment dynamique, pas trop formel, mais vraiment challengeant. Une job, tu sais. Puis que tu peux avoir une belle relation comme ça avec le travail. Moi, c'est à travers le monde du SaaS que j'ai trouvé ça, à travers Snipcard à travers Doudon ensuite. Puis j'ai envie que les gens, de façon générale, que ce soit des gens en tech, qui veulent bouger vers le SaaS ou le produit numérique, que ce soit des gens pas en tech qui se disent Ah, c'est ce genre de startup produit numérique-là, ça a l'air cool, je pourrais travailler là-dedans. J'ai envie qu'il y en ait plus de gens qui aient la chance d'avoir le même genre de relation que j'ai avec le travail, via cette industrie-là, qui est le SaaS. Aussi, ça c'est un point. Deuxième point, j'ai envie que la communauté existante de SaaS du Québec francophone se rapproche. J'ai envie qu'il y ait plus de liens qui se tissent. Parce que moi, dans mon expérience, d'être proche de des founders, de des employés clés dans des SaaSes environnantes, dans les SaaSes du quartier, ça a tout changé. Aller sur des marches avec des founders qui m'expliquent comment ils ont réussi à shipper un maximum de features en un minimum de temps, aller dîner avec un founder ou une directrice qui m'explique comment elle a réussi à harnaisser tel... Canal de croissance, Tell Grow Channel. Tu sais, quand tu atteins des plateaux puis des défis, c'est tellement inspirant puis motivant de voir des pairs qui ont passé à travers ces plateaux-là puis ces défis-là. Ça crée vraiment un effet de communauté, je pense, puis une espèce de rising tide, lifts all boats, genre de dynamique. Puis, by the way, grosse parenthèse, mais vous aurez deviné que le podcast est commandité par l'OQLF. Toutes les... tous les anglicismes ont été pré-approuvés par le comité. Blague à part, ça se peut que j'en dise beaucoup d'anglicismes. Je m'excuse pour ceux qui sont plus francophiles, franco-purs, peu importe comment on l'appelle. Dans notre industrie, ça sort juste beaucoup. Moi, j'ai ce très mauvais réflexe-là. Je suis désolé, maman, si t'écoutes. Donc, c'est ça. Construire ces relations-là entre les founders, entre les employés, rapprocher le monde, puis un peu... Être témoin et être fier collectivement de toute cette valeur-là qu'on crée dans le space du SaaS au Québec. Parce que moi, quand on a vendu Snipcard à l'international, à un plus gros joueur, on s'entend dans l'espèce de narrative collective des startups. Soit tu meurs, soit tu lèves de l'argent et tu vends à IPO, soit tu te fais acheter. Souvent, c'est ça les outcomes auxquels on réfléchit. C'est comme un succès de réussir ça. Moi, d'abord... business d'ici, avec du monde d'ici, qui a eu ce succès-là, ça me rend foncièrement fier. Mais ce que je me rends compte en pôquant here and there en pôquant du monde sur LinkedIn, en allant manger avec telle personne, en googlant, c'est qu'il y en a un paquet de SaaSes que je connais pas, que les autres connaissent pas, pis ça, c'est juste des opportunités pour donner plus de visibilité à notre space. Peut-être que ça va aider les gens à appliquer dans ces SaaSes-là. Peut-être que ça va connecter les founders entre ces SaaSes-là. Puis le podcast va servir à ça. Fait que le podcast, le format va être simple. Ça va être AF&AF. AF&AF, fun, puis AF, juste value. OK ? Donc, moi, mes discussions avec ces founders-là, avec des collègues, avec du monde qui tripe, ça a toujours été ça. On mess around, on y aise un petit peu, on a du fun, mais on parle de des sujets intéressants, on parle de des histoires intéressantes, on partage nos histoires, nos leçons. Puis des fois, on rentre dans le plus technique, tu sais. C'est cette dynamique-là qui m'a fait tripper pendant 9 ans, que je veux essayer de transposer dans ce pod-là. Il va y avoir certains épisodes qui vont être solos, comme celui-là. Il y en a qui vont avoir des guests, des invités. Je vais sûrement commencer MVP et faire ça plus avec le monde de Québec, proche de mon environnement immédiat. Mais j'ai un paquet de belles personnes à qui jaser à Montréal, à Sherbrooke, au Saguenay. Le but, c'est que ce soit franco et puis au Québec. Donc le pod, j'espère que ça va inspirer, divertir et éduquer les founders et les employés qui travaillent dans ce monde-là de SaaS. J'humelais à ce podcast-là, il va y avoir deux autres éléments dans ce gros side project-là que j'entreprends. Le premier, c'est que SaaSpasse le répertoire. C'est-à-dire qu'on est en train de builder un site, moi avec un collègue, François Douville, chez Apollo 13, qui est un programme d'accompagnement de start-up à Québec. Je suis le CA là-dessus, je suis le mentor là, etc. On est en train de builder un site qui va agir comme base de données un petit peu interactive, puis, hopefully, qui look good. sur toutes les SaaS du Québec en français. Éventuellement, on veut qu'il y ait une découvrabilité par secteur, par tech stack, par canal de croissance qui sont utilisés, qu'il y ait un petit profile sur les founders, ce genre de metadata-là autour de nos SaaS du Québec. Ça, c'est comme la phase 1 de ce qu'on est en train de builder. On a un prototype qui marche. On va launcher ça dans les prochaines semaines. La phase 2, c'est peut-être de tourner ça en job board. On va voir. On réfléchit à certains modèles de monétisation, tout ça. Je vais en parler sur le pod de façon transparente au fur et à mesure que ça évolue. Donc, on a ça. Puis la deuxième pièce, c'est un événement mensuel que je veux faire. Je veux commencer à Québec. Comme je vous dis, c'est plus facile logistiquement parlant, tout ça. Mais j'aimerais ça qu'on puisse bouger cet événement-là dans différentes villes de la province. Donc, SaaSpasse mensuel. Comment exactement tout ça va se passer ? Je suis en train encore de le figure out. Puis je vais vous tenir au courant sur le pod, je vais vous tenir au courant sur les médias sociaux, sur le site de SaaSpasse.com. Puis c'est ça. Je suis trop hype, trop excité d'avoir enfin comme cette outlet-là puis de pouvoir utiliser certaines forces que j'ai développées à travers le temps pour investir dans la communauté de SaaS qui m'a tellement, moi, amené. Puis je pense qu'on va être capables de faire de quoi de bon. Donc, c'est ça. Ça va être l'intro. Ça va être l'intro à SaaSpasse. Et puis, je vous invite à suivre le pod, à me suivre sur LinkedIn, Twitter, toutes ces socials médias-là. Ça a été un plaisir d'enregistrer ça dans un sombre studio de la base-ville de Québec pour vous. Puis, j'ai hâte de parler avec d'autres mondes. J'ai hâte d'avoir des comments, des feedbacks. Puis, on se revoit au prochain show. Merci.
Updates sur le podcast, la cie, les events IRL. Contenu premium pour les abonnés SaaSpal — éditorial de Frank, Q&A, roadmap du pod.